Ingénierie pour la Qualité Environnementale des Bâtiments

Construisons mieux

iqeb est un bureau d’études et de conseil en construction durable, dont l’objectif est de répondre aux enjeux environnementaux liés au secteur du bâtiment.

Le champ d’action est large. De la qualité de vie de l’utilisateur final, qui doit rester au centre de nos préoccupations, jusqu’à l’impact global de la construction, nombreux sont les domaines concernés  par la qualité environnementale du bâtiment. Qualité d’usage, santé, confort, gestion de l’eau, transports, impacts du chantier, épuisement des ressources, consommation énergétique, changement climatique… Tous ces paramètres, qui bien souvent interfèrent entre eux, doivent être pris en compte de la manière la plus objective et pragmatique possible.

Vous êtes un Maître d’Ouvrage, un concepteur ou une entreprise générale : iqeb est à votre écoute pour vous proposer une réponse adaptée à vos impératifs économiques, architecturaux et techniques, et vous aider à intégrer au mieux les critères environnementaux à votre projet de construction.

À propos

iqeb a été créé en 2019, à Valence dans la Drôme.

Luc Faure-Brac

Ingénieur Conseil

Portrait Luc

Passionné par l’aménagement, l’architecture et la construction, je suis ingénieur en bâtiment, diplômé du département Génie Civil et Urbanisme de l’INSA de Lyon en 2004.

Convaincu de la nécessité de réfléchir à l’impact des bâtiments sur notre environnement, il me paraît important de considérer cet aspect comme un élément de conception à part entière, dont l’évaluation doit être réalisée à plusieurs niveaux. À l’échelle de la personne, en se questionnant sur la qualité d’usage, la santé, le confort. À l’échelle locale, celle de la parcelle ou de la ville, en adaptant la gestion de l’eau, les transports, le chantier. À l’échelle globale enfin, en tenant compte des problématiques d’épuisement des ressources, de consommation énergétique et de changement climatique.

Engagé depuis plus de 13 ans auprès des professionnels de la construction, j’ai travaillé pendant 10 ans au sein de bureaux d’études spécialisés dans la construction durable sur la région lyonnaise.

En créant iqeb, je mets aujourd’hui mes compétences et mon expérience à votre service, pour vous aider à intégrer à vos projets une démarche de qualité environnementale. Du début à la fin de votre opération, je resterai votre unique interlocuteur. J’interviens principalement entre Valentinois et Lyonnais mais aussi, en fonction des projets, sur l’ensemble de la région Rhône-Alpes, voire la France entière.

Cabestan

Coopérative d’Activités

Dans le cadre d’iqeb, je suis titulaire d’un CAPE auprès de la Coopérative d’Activités et d’Entrepreneurs Cabestan.

Il s’agit d’une société coopérative et participative qui regroupe environ 250 professionnels du bâtiment, artisans ou concepteurs, sur l’ensemble de la Région Auvergne-Rhône-Alpes. Elle s’appuie sur une équipe support d’une vingtaine de personnes nous permettant de mutualiser moyens techniques, administratifs, comptables, d’assurance, de formation et d‘accompagnement.

 

Chaque entrepreneur au sein de Cabestan développe son activité à son image, mais nous partageons tous des valeurs essentielles :

  • Construire dans les règles de l’art et même au-delà des règles.
  • Partager nos connaissances et compétences.
  • Comprendre les besoins de nos clients et respecter nos engagements.
  •  Pratiquer des prix justes et équitables.
  •  Placer l’éco-construction au cœur de nos pratiques.

Le siège social de Cabestan est situé à Grenoble.

Missions

Assistance à la Maîtrise d’Ouvrage (AMO) ou conseil à la Maîtrise d’Œuvre (MOE), iqeb vous aide à construire des bâtiments respectueux de leur environnement, confortables pour leurs occupants,  économes en énergie et autres ressources ; en un mot durables.

Types de projets

Neuf (vert clair)

L’évolution de la réglementation thermique, en s’appuyant notamment sur les labels de performance énergétique, a permis aux bâtiments neufs de voir leurs consommations d’énergie (en particulier pour le chauffage) baisser de manière importante ces dernières décennies. À la fin de sa vie, les émissions de gaz à effet de serre liées au fonctionnement d’un bâtiment construit aujourd’hui ne seront généralement pas plus élevées que celles de sa construction.

Il donc est primordial d’évaluer l’impact environnemental des produits de construction. L’analyse de cycle de vie est l’outil de cette évaluation. Elle permet de comparer, sur toute la durée de vie d’un bâtiment, les effets des choix constructifs pouvant être faits.

Mais il n’est évidemment pas question de revenir en arrière sur la performance thermique des bâtiments. Bien au contraire ! La conception bioclimatique d’un nouveau bâtiment est l’occasion d’exploiter au mieux le potentiel du site, révélé par son analyse environnementale. Il s’agit alors de trouver les bons compromis entre la compacité du bâtiment, son orientation, la dimension et la position de ses ouvertures… en fonction des objectifs préalablement fixés.

Réhabilitation (vert clair)

Dans le bâtiment existant, les gaz à effet de serre dus à la construction ont en grande partie déjà été émis il y a plusieurs années. Pour les immeubles les plus anciens, la consommation d’énergie liés à leur activité reste prépondérante. Cette question doit être traitée en priorité, car si les constructions neuves sont maintenant généralement très performantes de ce point de vue, le taux de renouvellement du parc immobilier français est d’environ 1%.

Les travaux de rénovation ne doivent être envisagés qu’après un diagnostic précis, permettant d’identifier les causes des surconsommations constatées et de proposer les réponses les plus appropriées. On privilégiera autant que possible une rénovation globale et, dans tous les cas, en employant les solutions les plus performantes pour chaque élément touché par les travaux. Le but est, pour reprendre l’expression de l’association négaWatt, de ne pas « tuer le gisement » d’économies d’énergie.

Catégories de bâtiments

Logement (gris clair)

Le secteur résidentiel représente en France environ le tiers des consommations énergétiques totales (semblable au secteur des transports, le reste se partageant entre industrie, tertiaire et agriculture). Il s’agit donc d’un domaine prioritaire pour économiser l’énergie, que ce soit dans le neuf ou dans l’ancien.

Cependant, cette recherche de performance énergétique ne doit pas aller à l’encontre de la santé et du confort des occupants. Il faut en particulier rester attentif à la qualité de l’air intérieur. Celle-ci peut affectée par la présence de polluants à l’intérieur du logement (souvent liée aux produits de construction, d’ameublement et d’entretien) ainsi que par un taux de renouvellement d’air insuffisant. En effet, pour limiter les déperditions thermiques en hiver, les débits de ventilation ont tendance à diminuer. Une partie du travail de conception consiste à trouver le meilleur équilibre entre ces deux aspects.

Le confort thermique d’été doit également être étudié avec attention. Des simulations thermiques dynamiques permettent d’évaluer le risque de surchauffe et de dimensionner les ouvertures et les protections solaires en conséquence.

Phases d'intervention

Programmation (vert clair)

L’objectif de la programmation environnementale est de se fixer des objectifs de performance du bâti calibrés selon le contexte du projet et de mettre en place la méthode de suivi de la réponse donnée à ces objectifs.

iqeb peut vous aider à inscrire votre projet dans le cadre d’un référentiel de certification environnementale, ou vous proposer la mise en œuvre d’un programme spécifique adapté à un contexte particulier (site atypique, objectifs propres du maître d’Ouvrage, volonté de simplification de la démarche…).

Dans tous les cas, l’intervention débute par une analyse environnementale du site pour en déterminer les principaux atouts et contraintes. Sur cette base, et à partir de votre politique environnementale et de voss objectifs généraux, une liste de priorités environnementales à intégrer au programme est proposée. Une fois ces priorités validées et hiérarchisées, le programme environnemental nécessaire à la consultation des concepteurs est rédigé. Soit il peut s’agir d’un document spécifique, soit les exigences environnementales peuvent être intégrées dans le programme général. Il présente l’ensemble des exigences environnementales et les rendus attendus à chaque phase du projet pour justifier que ces exigences sont atteintes, ainsi qu’une grille de suivi permettant d’évaluer tout au long du projet les réponses de l’équipe de conception aux attentes environnementales.

Conception (vert clair)

De l’esquisse au DCE, cette phase est un moment d’échanges et de coopération entre tous les acteurs de la Maîtrise d’œuvre et de la Maîtrise d’Ouvrage, afin de trouver (ou d’analyser, en cas d’AMO) les solutions les mieux adaptées au projet en fonction des exigences de chacun.

C’est le temps des études spécifiques :

  • Calcul thermique réglementaire.
  • Faisabilité des systèmes d’énergie renouvelables (solaire photovoltaïque ou thermique, bois énergie…).
  • Simulation Thermique Dynamique pour évaluer les besoins de chauffage ou de rafraîchissement et le risque d’inconfort estival).
  • Évaluation de la qualité de l’éclairage naturel par le biais du calcul des Facteurs de Lumière du Jour.
  • Études d’ensoleillement pour se rendre compte des l’impact de la construction sur l’environnement, et pour optimiser les ouvertures et les protections solaires.
  • Analyse du Cycle de Vie du bâtiment comprenant l’estimation de son « énergie grise ».
  • Faisabilité des la récupération des eaux pluviales.

C’est également lors de cette phase que sont rédigés les notes de synthèse et les documents justificatifs (en réponse à une demande de certification par exemple), ainsi que les préconisations spécifiques à intégrer dans les documents de consultation des entreprises.

Réalisation (vert clair)

Lors du chantier, il faut s’assurer que ce qui a été prévu lors des études est correctement mis en œuvre. Cela passe par la collecte méthodique des informations sur les produits et systèmes mis en œuvre et la vérification de leurs caractéristiques.

Le chantier génère par ailleurs une grande quantité de déchets. Il faut donc définir et faire respecter les procédures permettant en priorité de réduire leur quantité, puis de les valoriser (préfabrication, tri, bordereaux de suivi…).

Enfin, tout chantier induit des nuisances sur son environnement direct ou indirect (bruit, poussières, emprise sur le domaine public, utilisation de produits dangereux, consommations d’énergie et d’eau…). L’engagement de tous les intervenants, retranscrit dans une charte adaptée au projet, permet de définir les moyens utilisés pour limiter ces nuisances.

Exploitation (vert clair)

Des écarts, parfois importants, peuvent être relevés entre ce qui a été prévu lors de la conception et durant l’utilisation du bâtiment. Ils concernent par exemple les consommations d’énergie ou le niveau de confort ressenti.

Ils peuvent avoir plusieurs sources qu’il faut identifier :

  • Erreurs de calculs en conception.
  • Produits ou systèmes ne correspondant pas à ceux prévus ou mal installés (problème au niveau du suivi de chantier, de la réception du bâtiment ou de la mise en route des systèmes).
  • Défaut d’entretien du bâtiment et de ses équipements.
  • Différences entre les hypothèses de modélisation et les conditions réelles d’utilisation (conditions météorologiques, taux d’occupation, utilisation des dispositifs prévus…)

La détermination des écarts, de leur origine et de la manière de les réduire, se fait par l’intermédiaire d’une étude documentaire (relevés, carnet de maintenance, DOE…) et de visites de site (entretien avec les utilisateurs, mesures, vérification du fonctionnement des systèmes…).

Références

Vous trouverez ici des projets que j’ai personnellement suivis au cours de mes
précédents postes au sein des bureaux d’études Cap Terre (entre 2008 et 2012)
et Orchidée Environnement (entre 2013 et 2017).

Contact

Logo grand final gris

11, rue Christophe Colomb

26000 VALENCE